Le printemps revient avec ses innombrables brocantes tentantes. J’avoue n’avoir plus de plaisir à courir les vide-greniers, plus communément appelés vide-poubelle avec leurs montagnes de fringues, de godasses et autres trucs dérisoires à 1 € pour lesquels je me demande toujours qui peut bien être intéressé ?
Dans les brocantes, je trouve parfois quelque chose, Oh! pas la super affaire non, mais juste de beaux petits objets anciens qui viendront prendre le peu de place qui reste dans mon minuscule appartement !
Ce dimanche, c’était sur les bords du canal de l’Ourcq sous un soleil de plomb que s’étaient installés les stands. Les vieux objets de couture ayant vu leur prix flamber, depuis que beaucoup de collectionneurs s’y intéressent (la majorité ne sait pas coudre un bouton !) il est rare de faire une trouvaille à prix raisonnable.
J’aime bien le bagout des brocanteurs, leur propension à l’exagération sur la provenance de leurs objets et leur faculté à nous considérer comme des ignares incultes propres à gober leur affirmations péremptoires…
Dans tout ce fatras, je vous laisse deviner ce qui a attiré mon attention…
Voilà la réponse !
Bon, malgré la tentation de croire qu’il est » Louis Philippe » comme l’affirme le vendeur, je le daterais des années 1900 plutôt; il me manquait évidemment pour disposer mes bibelots (que j’aurais l’occasion encore de trouver !)
Pour le premier dimanche parisien vraiment estival, le Parc de la Villette, un peu plus loin sur le canal était très fréquenté, trop à mon goût…
Heureusement la bambouseraie ombreuse et déserte nous a fourni la halte rafraîchissante espérée…Un petit goût du Japon en plein Paris !
j’ai trouvé la réponse à la devinette 🙂 !!
Ah Oui ?
Dans les brocantes au quelle je participe, j’ai toujours un petit carton avec du *chenie*. La copine déco qui m’accompagnait a été étonnée que les gens achètent ces bricoles à 1, 2.- suisses. Elle dit : * moi j’aurais jeté tout ça !
Béatrice, En France on ne connait pas le « chenie » ! Qu’est-ce que cela peut bien être ?